La journée mondiale des rhumatismes : Une occasion de sensibilisation et d’actions

Chaque année, le 12 octobre, la Journée mondiale des rhumatismes offre une opportunité essentielle pour sensibiliser le public aux maladies rhumatismales. Ces pathologies incluent des troubles tels que la polyarthrite rhumatoïde, l’arthrose et le lupus, qui touchent des millions de personnes dans le monde. Les maladies chroniques, telles que les rhumatismes, entraînent des douleurs, des inflammations et une perte de mobilité, altérant considérablement la qualité de vie des patients (1).

Le rôle de l’alimentation et du microbiote intestinal dans les maladies rhumatismales.

De plus en plus d’études soulignent le lien entre l’alimentation, le microbiote intestinal et les rhumatismes. Les processus inflammatoires chroniques qui affectent les articulations, les muscles, les tendons et les ligaments sont influencés par l’équilibre du microbiote (2). Une dysbiose intestinale (déséquilibre du microbiote) peut aggraver des affections comme la polyarthrite rhumatoïde et d’autres maladies inflammatoires (3).

Certains aliments peuvent provoquer des réactions immunitaires spécifiques chez les patients souffrant de rhumatismes, déclenchant une inflammation chronique. Par exemple, des études ont révélé une augmentation significative des anticorps IgG contre des protéines alimentaires comme celles présentes dans le lait, les œufs et les céréales. Pour réduire les réactions inflammatoires et soulager les symptômes, ces aliments doivent être temporairement éliminés de l’alimentation.(4).

Impact de l’alimentation sur les symptômes des maladies rhumatismales

Les résultats d’une enquête auprès de patients atteints de polyarthrite rhumatoïde montrent que certains aliments ont un effet direct sur les symptômes. Par exemple, des aliments comme les myrtilles et les épinards ont été signalés comme ayant un impact positif, tandis que des aliments sucrés comme les sodas aggravaient les symptômes (5). Il est donc essentiel pour les patients de connaître les aliments qui peuvent déclencher ou aggraver leur état et d’adopter un régime alimentaire adapté.

Il ne faut surtout pas oublier que n’importe quel aliment bénéfique identifié comme aliment déclencheur ( à travers le test ImuPro par exemple) doit également être éliminé temporairement de l’alimentation.

Importance des tests de sensibilités alimentaires comme ImuPro

Le système immunitaire peut réagir à certains aliments en produisant des anticorps IgG, provoquant une inflammation silencieuse de bas grade. Cette inflammation chronique peut aggraver les symptômes des maladies comme la polyarthrite rhumatoïde, le lupus et d’autres maladies auto-immunes (1). Les tests de sensibilités alimentaires IgG, tels que ImuPro, aident à identifier les aliments déclencheurs d’inflammations.

Une étude sur des patients atteints de syndrome de Sjögren, une maladie auto-immune souvent associée à la polyarthrite rhumatoïde, a révélé que 9 patients sur 10 étaient hypersensibles au blé et aux produits laitiers. Après avoir suivi un régime d’élimination basé sur les résultats des tests IgG, la majorité des patients a constaté une amélioration significative de leurs symptômes, notamment une réduction des douleurs articulaires et des problèmes gastro-intestinaux (1)(7).

Conclusion : Une approche intégrée pour améliorer la qualité de vie des patients

La recherche sur les maladies rhumatismales continue de progresser. L’importance d’une alimentation adaptée, associée à la gestion des aliments inflammatoires, devient de plus en plus évidente pour améliorer le bien-être des patients. En combinant une alimentation personnalisée, l’utilisation de tests IgG comme ImuPro, et des soins médicaux appropriés, il est possible de réduire l’inflammation chronique et d’améliorer la qualité de vie des personnes touchées par ces pathologies.

 

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Référence :

  1. Scientific-News-Rheumatic-diseases
  2. Zhong, D., Wu, C., Zeng, X. & Wang, Q. The role of gut microbiota in the pathogenesis of rheumatic diseases. Clin. Rheumatol. 37, 25–34 (2018).
  3. Maeda, Y. & Takeda, K. Role of Gut Microbiota in Rheumatoid Arthritis. J. Clin. Med. 6, 60 (2017).
  4. Hvatum, M., Kanerud, L., Hällgren, R. & Brandtzaeg, P. The gut-joint axis: Cross-reactive food antibodies in rheumatoid arthritis. Gut 55, 1240–1247 (2006).
  5. Tedeschi, S. K. et al. Diet and Rheumatoid Arthritis Symptoms: Survey Results From a Rheumatoid Arthritis Registry. Arthritis Care Res. 69, 1920–1925 (2017).
  6. Petersson, S., Philippou, E., Rodomar, C. & Nikiphorou, E. The Mediterranean diet, fish oil supplements and Rheumatoid arthritis outcomes: evidence from clinical trials. Autoimmun. Rev. 17, 1105–1114 (2018).
  7. Kim-Lee, C., Suresh, L. & Ambrus, J. L. Gastrointestinal disease in Sjogren’s syndrome: related to food hypersensitivities. Springerplus 4, 1–5 (2015).